Une
vieille carrière de craie transformée en abri passif de
la fin de la Second Guerre Mondiale aux années soixante. Immense,
labyrinthique, c'est facile de s'y perdre si on s'écarte un peu
de la Rue de Rivoli (surnom donné à la longue route principale
parcourant le bunker). Il ne reste pas grand-chose à voir mais
le lieu en lui-même est superbe, surtout le grand escalier en
spirale carrée qui serpente jusqu’à la surface.
Le soir où j'y suis allé nous sommes tombés sur
une curieuse installation satanico-adolescente avec bougies rouge, blanches
et vertes. Des Satanistes Italiens ? |